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Starclette Party 2023

Astrochablais organise une soirée observation et raclette pour ses membres.

Date : vendredi 3 novembre 2023
Heure : dès 18h
Lieu : Observatoire de Vérossaz
Inscription : Obligatoire ici avant le mardi 31 octobre minuit

La désormais traditionnelle Starclette d’Astrochablais est une rencontre pour les membres de l’association autour d’une raclette offerte et servie par la comité. Il est possible d’observer le ciel nocturne avec les télescopes à disposition ou avec le vôtre !

La soirée est réservée uniquement aux membres. Pour les non-membres qui souhaiteraient y participer, vous pouvez toujours devenir membre en vous inscrivant sur ce lien 😉

Conférence : L’interférométrie d’intensité

Date : jeudi 9 mars à 20h00
Lieu : Salle des Combles, ECCG Monthey
Type de conférence : grand public, gratuite

Dans un télescope traditionnel, les étoiles sont juste des points sans dimensions. Une technique inventée dans les années 50 a permis de résoudre certaines étoiles et de mesurer leur diamètre. Cette technologie a été oubliée pendant 50 ans.
Une renaissance de cette technologie nous laisse entrevoir des perspectives fantastiques. Notre but lointain est d’effectuer la première image d’un disque d’accrétion.

Le conférencier

Nicolas Produit (UNIGE)
Président et fondateur de la »société Valaisanne de Physique ».
Il est l’investigateur principal de la collaboration POLAR, construction d’un satellite pour la mesure de la polarisation des sursauts gammas. Il est aussi physicien à l’ISDC (Integral Science Data Center). De plus, il est responsable du logiciel d’un instrument spatial et réalise des recherches scientifiques dans le domaine des sursauts gammas, des trous noirs primordiaux et de la gravité quantique.

Starclette Party

Astrochablais organise une soirée observation et raclette pour ses membres.

Date : 6 novembre 2021
Heure : dès 17h30
Lieu : Observatoire de Vérossaz
Inscription : Obligatoire ici avant le 1er novembre.
Pass COVID : Obligatoire

Lors de cette soirée nous vous proposerons d’observer le ciel étoilé, mais aussi de partager et discuter autour d’une bonne raclette. Comme la raclette aura lieu en intérieur, le pass sanitaire vous sera demandé.

La soirée est réservée uniquement aux membres. Pour les non-membres qui souhaiterais y participer quand même, vous pouvez toujours devenir membre en vous inscrivant sur ce lien.

La soirée dépendant des conditions météorologiques, vous recevrez une confirmation par e-mail de la tenue de la soirée deux jours avant.

Le réseau cosmique nourrit les galaxies primitives

Les galaxies de l’univers primitif sont beaucoup plus matures qu’escompté par les astrophysicien-nes, une précocité issue de leurs interactions avec le cosmos. 

Une galaxie de l’univers primitif observée par le télescope ALMA. Elle est considérée comme déjà mature, car elle contient de grandes quantités de poussière (jaune) et de gaz (rouge). © B. Saxton NRAO/AUI/NSF, ALMA (ESO/NAOJ/NRAO), ALPINE team.

Les premières galaxies se sont formées 200 millions d’années après la naissance de l’univers. Elles ont accumulé la majeure partie des étoiles, des poussières et des métaux qui les composent lors d’une période située entre 1 et 3 milliards d’années après le Big Bang, une époque charnière pour comprendre la formation des galaxies. Les astronomes de l’Université de Genève (UNIGE) basés à l’Observatoire de Genève et le consortium international d’astronomes du projet ALPINE ont étudié 118 galaxies de cette époque grâce au télescope ALMA établi sur les hauts plateaux chiliens d’Atacama. À travers huit publications jointes, dont quatre ont été réalisées principalement à l’UNIGE, les astrophysiciens ont réussi à remonter le temps de près de 13 milliards d’années pour déterminer la composition en gaz et poussière des galaxies. Leurs analyses, à lire dans le journal Astronomy & Astrophysic, démontrent que les galaxies primitives sont déjà matures, appuyant l’existence d’un réseau cosmique capable de les alimenter en ressources.

Pour comprendre comment les galaxies se forment, y compris notre voie lactée, l’idéal serait de pouvoir les suivre tout au long de leur vie, chose impossible. «Heureusement, nous pouvons les observer à différentes époques. En regardant très loin dans l’espace, il est possible de remonter le temps et de les étudier telles qu’elles étaient dans le passé. La période se situant entre 1 et 3 milliards d’années après le Big Bang est particulièrement intéressante, car elle correspond au pic de croissance des galaxies», indique Daniel Schaerer, astronome au Département d’astronomie de l’UNIGE.

L’acquis galactique

Les grandes galaxies, telles que notre voie lactée, Andromède et d’autres, ont atteint leur taille et masse grâce à des fusions avec d’autres galaxies. De plus, pour assurer leur croissance passée, elles ont dû recevoir du gaz supplémentaire de l’extérieur. Ce gaz est vraisemblablement présent dans le milieu intergalactique et il est transporté vers les galaxies grâce aux filaments cosmiques. En d’autres termes, les astronomes pensent que «l’histoire des galaxies est gouvernée par ce que nous appelons le réseau cosmique, une sorte d’écosystème galactique», précise Daniel Schaerer. Malgré l’acceptation de ce modèle théorique par les scientifiques, la présence de gaz dans le milieu intergalactique et l’existence de filaments cosmiques n’ont jamais pu être prouvées par des mesures concrètes.

Le gaz est donc un composant clé pour la croissance des galaxies. Le télescope ALMA a été spécialement conçu pour permettre son observation grâce à un système captant la lumière de l’infrarouge lointain. «Il s’agit d’un interféromètre de 66 antennes de 7 à 12 m de diamètre chacune, placé à 5000 mètres d’altitude sur un plateau chilien. Le grand nombre d’antennes permet de collecter le maximum de lumière», décrit l’astronome de l’Observatoire de Genève,Miroslava Dessauges-Zavadsky, en parlant de ce télescope unique au monde.

Excès de gaz

À travers huit études, les astrophysiciens internationaux du consortium ALPINE se sont rendu compte que les galaxies primitives contenaient beaucoup plus de gaz qu’attendu, une indication de leur développement précoce. «Certaines sont très grosses et quasiment toutes contiennent déjà des éléments lourds, tels que le carbone, dans le milieu interstellaire. C’est une indication que ces éléments ont été formés par des générations d’étoiles qui existaient avant 1 milliard d’années, car le carbone n’est pas généré lors du Big Bang», précise Daniel Schaerer. 

Zoom sur les contributions genevoises

La quantification du gaz a été réalisée par une équipe de l’UNIGE et fait l’objet d’une des huit publications. Ces travaux ont contribué à démontrer que les galaxies lointaines, et se trouvant par conséquent à un stade précoce de leur développement, ont beaucoup plus de gaz que les galaxies proches. Néanmoins, comme le gaz est consommé très rapidement et que les observations montrent une croissance des galaxies plus longue, les quantités de gaz observées ne sont pas suffisantes pour expliquer cette croissance. «Les galaxies doivent donc se réapprovisionner en gaz provenant du réseau cosmique», indiqueMiroslava Dessauges-Zavadsky, première auteure de cette étude.

Une autre étude menée par l’Observatoire de Genève a comparé les galaxies de notre époque (13,8 milliards d’années) à celles présentes 800 millions d’années après le Big Bang. Elle met en avant les similitudes de certaines propriétés des galaxies à travers les époques, comme le rapport entre l’émission de la raie du carbone et la quantité d’étoiles formées. L’étude démontre la constance de ces propriétés sur 13 milliards d’années, une information importante pour quantifier la croissance des galaxies à travers l’histoire de l’Univers.

L’analyse des poussières galactiques est l’objet de la troisième étude genevoise. Les chercheur/euses ont pu démontrer la présence de poussières dans 20% des galaxies primitives. «Ceci indique que ces galaxies sont plus matures que primitives et que des générations précédentes d’étoiles ont créé les éléments incorporés dans les poussières,» explique Pascal Oesch, astrophysicien à l’UNIGE et investigateur principal de cette publication.

L’analyse des déplacements du gaz est au cœur de la quatrième étude faite à l’UNIGE.Les chercheur/euses ont pu démontrer que les éléments lourds tels que le carbone sont présents non seulement à  l’intérieur, mais aussi à grande distance des galaxies et se déplacent à grande vitesse. «Ce gaz enrichi trace ainsi la présence d’importantes voies de circulation vers et probablement aussi en provenance de l’espace intergalactique. Cela étaye une fois de plus la thèse du réseau cosmique», conclut Daniel Schaerer. 

Conférence: « La mesure des distances dans l’Univers »

Date: le jeudi 12 novembre 20h00
Lieu: En visioconférence depuis notre site internet
Type de conférence: grand public

Une fois inscrits les intéressés recevront un mail contenant le lien leur permettant de rejoindre la salle de conférence virtuelle. Les infos utiles seront transmises en même temps.

Résumé:
Comment savoir qu’une étoile est plus grande que la Lune ? En observant qu’elle est beaucoup plus éloignée !
Connaître la distance d’un objet astronomique est la première étape nécessaire pour caractériser sa nature physique. De la méthode d’Ératosthène au télescope spatial Gaïa, nous verrons comment mesurer la distance qui nous sépare des objets célestes.

La conférencière:
Isabelle Santos a fait des études d’informatique et a obtenu un Master dans cette branche en 2015 à l’Institut de Technologie de l’Illinois aux USA. Entre 2016 et 2019 elle a effectué un doctorat de mathématiques sur la résolution des équations aux dérivées partielles stochastiques ainsi qu’un Master de recherche en Astrophysique à l’Université de Toulouse III.
Mme Santos est une scientifique persévérante et dynamique qui souhaite faire avancer la recherche astrophysique grâce à son excellente connaissance des mathématiques appliquées.
Intéressée par la vulgarisation de la science astronomique, Isabelle Santos est également formatrice dans le cadre de cours d’astronomie grand public et de cours pour animateurs astronomiques.

Conférence: « La magie des particules élémentaires »

  • Date et heure: jeudi 17 septembre 2020 à 20h00
  • Lieu: Salle des combles de l’école de commerce de Monthey
  • Résumé: Lorsque l’on entend parler de particule, la première image qui nous vient à l’esprit est celle de l’atome, cher au chimiste. Comme certains le savent, cet atome est en réalité composé de protons, de neutrons et d’électrons. Nous verrons qu’en fait, nous connaissons des constituants de la matière encore plus infimes. Après un bref aperçu historique de la manière dont la physique moderne a été capable de décortiquer la matière dans ses entrailles les plus profondes, nous plongerons dans le milieu passionnant des particules élémentaires. Nous pourrons alors discuter l’origine des noms et le comportement de toutes ces particules aux noms étranges telles que les quarks, les électrons ou encore le célèbre boson de Higgs découvert en Suisse, au CERN, en 2012.
  • Conférencier: Florian Rouge est né en 1995 à Martigny. Il a réalisé ses études secondaires au collège de l’Abbaye de St-Maurice et a entamé un Bachelor de physique à l’EPFL en 2015. En 2020, il a obtenu un Master en physique théorique des hautes énergies à l’EPFL. Il est membre du comité d’Astrochablais depuis 2015.

Visioconférence: « L’astérosismologie »

Pour accéder à la salle merci de vous connecter le jeudi 14 mai dès 19h50 en cliquant sur le lien: https://epfl.zoom.us/j/94804550293
La conférence sera alors accessible via l’application zoom.

Résumé de la conférence:
Les théories de la structure interne et de l’évolution des étoiles comportent de nombreuses inconnues dues notamment au manque de contraintes observationnelles disponibles. En effet, seule la surface des étoiles (la photosphère) est directement visible. Comment peut-on alors obtenir des informations sur les propriétés de l’intérieur des étoiles? De manière analogue à la sismologie terrestre, l’astérosismologie se base sur l’étude des fréquences et amplitudes des oscillations stellaires pour déterminer la température, la densité, la composition chimique, la vitesse de rotation, etc. dans l’intérieur des étoiles. Durant cette présentation, nous décrirons les bases de l’astérosismologie et nous discuterons les résultats obtenus récemment grâce à cette méthode.

Le conférencier:
Après une thèse de doctorat à l’Université de Genève dédiée à l’observation et la modélisation astérosismique des étoiles de type solaire, M. Patrick Eggenberger s’est intéressé à l’interprétation théorique des observations astérosismiques obtenues par les missions spatiales CoRoT et Kepler. Il est actuellement astrophysicien à l’Observatoire astronomique de l’Université de Genève, spécialiste de l’évolution stellaire et de l’étude de la structure interne des étoiles par astérosismologie.

Soirée d’observation et raclette à l’observatoire de Vérossaz

Chers membres d’Astrochablais,

Le comité a le plaisir de vous annoncer que vous êtes invité à notre soirée annuelle. Elle aura lieu à l’observatoire de Vérossaz (voir adresse en bas de l’article). Une raclette vous sera offerte en première partie. Le programme est le suivant:

  • Rendez-vous entre 18h30 et 19h pour manger la raclette
  • Dès 21h30, observation du ciel (planètes, étoiles et galaxies sont au programme)

En cas de mauvais temps, la raclette est maintenue. M. Lindemann, responsable de l’observatoire, nous fera alors partager sa passion de l’astrophoto par une présentation sur place.

Lors du repas, les boissons seront payantes.

Le nombre de places étant limitées, veuillez remplir rapidement le formulaire d’inscription en cliquant par le lien présent en bas de page. Les personnes accompagnantes sont les bienvenues.

Merci et rendez-vous le 20 mai!

 

Formulaire d’inscription

Adresse:

Fondation de l’Observatoire de Vérossaz
1891  Vérossaz

L’image du mois de septembre 2016

Panorama d’Apollo 15

image du mois de septembre 2016Le 31 juillet 1971, les astronautes d’Apollo 15 Jim Irvin et Dave Scott mirent en route la toute première jeep lunaire. Ils l’utilisèrent pour explorer dans les meilleures conditions leur site d’atterrissage de la plaine Hadley-Apennine. Ils passèrent pas loin de trois jours complets dans leur module lunaire Falcon tandis que leur co-équipier Al Worden restait en orbite lunaire à bord du module de commande Endeavour. Le panorama ci-dessus a été réalisé à partir d’une mosaïque d’images composée numériquement. On y voit l’astronaute David Scott examiner un rocher devant le sommet du Mont Hadley Delta culminant à 3500 mètres. L’ombre de James Irwin est également visible sur la droite, et en prolongeant dans cette direction, vers le rille Hadley, on découvre sous l’éclairage cru du Soleil un terrain lunaire particulièrement tourmenté. Les astronautes ont parcouru 28 kilomètres à la surface de la Lune grâce à leur jeep. Apollo 15 a rapporté sur Terre environ 76 kilogrammes de roches lunaires.

Groupe d’observation

Astrochablais va mettre en place un groupe d’observation à « réponse rapide » en plus des observations planifiées. Cette structure aura pour but de satisfaire les curieux voulant explorer le ciel nocturne plus de 2 fois par an.

Contrairement aux autres observations, qui continueront la saison prochaine, ces observations seront décidées dans la semaine, jusqu’à 2 jours avant (le jeudi pour le samedi), permettant d’éviter la plupart des ennuis de météo. Cependant, un tel délai ne nous permet pas d’organiser des sorties en observatoires, nous ferons donc des soirées avec notre propre matériel.

Pour l’inscription, veuillez laisser un commentaire ci-dessous ou envoyer un mail à mon adresse, lionel(point)ieri(at)gmail(point)com.
Ce groupe est réservé dans un premier temps aux membres d’Astrochablais, mais n’hésitez pas à amener des amis.

La première observation se déroulera certainement durant le mois d’octobre.

 

Concernant la sortie à Leysin, une news vous parviendra prochainement.