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L’image du mois de janvier 2020

Du périhélie à l’aphélie

Cette année, le périhélie, le point de l’orbite terrestre le plus proche du soleil, a été atteint le 5 janvier. Ce rapprochement maximal, en réalité bien minime par rapport au point le plus éloigné, n’affecte pas les saisons sur notre belle planète. Les saisons sont en effet dues à l’inclinaison de l’axe de rotation de la Terre, pas à la variation de sa distance au Soleil. C’est pourquoi, en dépit de notre relative plus grande proximité du Soleil, le mois de janvier correspond toujours à l’hiver dans l’hémisphère nord, et à l’été dans l’hémisphère sud. Ce que cela signifie vraiment, c’est que le 5 janvier le soleil avait sa plus petite taille apparente de l’année. Ce montage permet de comparer très précisément deux images du Soleil prises depuis la Terre avec le même télescope et le même appareil photo respectivement au périhélie du 5 janvier 2020 et à l’aphélie du 4 juillet 2019. Sans ce type de montage, la perception du changement du diamètre apparent du Soleil entre le périhélie et l’aphélie est à peu près impossible à remarquer. Cette variation de taille apparente ne dépasse en effet guère les 3%. Le périhélie de 2020 et l’aphélie de 2019 sont le plus proche et le plus lointain du 21e siècle.

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