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Conférence: « Les télescopes géants du futur »

  • Date et heure: Jeudi 22 janvier 20h00
  • Lieu: Salle des Comble de l’école de commerce de Monthey
  • Titre: Les télescopes géants du futur
  • Conférencier: François Wildi (UNIGE)
  • Le conférencier: François Wildi est docteur en physique. Il développe des instruments d’observation à l’Observatoire de Genève. Il est spécialiste en optique adaptative et a été ingénieur système pour l’instrument d’imagerie haute résolution VLT-SPHERE qui vient d’être mis en service à l’observatoire de Paranal (Chili). Il est maintenant responsable des calibrations pour le charge utile de CHEOPS, le satellite de caractérisation d’exoplanètes dont la Suisse est maître d’œuvre. Outre ces activités, M. Wildi s’occupe de projets de recherche et développement en instrumentation en particulier en optique adaptative et en spectroscopie haute résolution.

Résumé: L’astronomie vit aujourd’hui une période particulièrement favorable: Les télescope actuels du type « 8 mètres » qui ont été mis en service au tournant du millénaire et leurs instruments permettent des avancées considérables en imagerie, en spectroscopie à haute résolution et en spectroscopie intégrale de champ. Mais les télescopes de la prochaine génération sont déjà en phase de développement. Prévus pour le début des années 2020, ils feront entre 20 mètres et 39 mètres de diamètre et permettrons des avancées considérables, en particulier dans les 2 domaine de pointe que sont la cosmologie et les exoplanètes. Nous verrons dans cet exposé ce que seront ces télescopes, quelle sont les technologies impliquées et quelles sont leurs promesses.

Conférence: « Le mythe des canaux de Mars »

  • Date et heure: Jeudi 13 novembre 20h00
  • Lieu: Salle des Comble de l’école de commerce de Monthey
  • Titre: Le mythe des canaux de Mars »
  • Conférencier: Pierre North (EPFL)
  • Le conférencier: Pierre North est né en 1952 à Neuchâtel, où il a suivi sa scolarité et a entamé ses études de physique. Il a terminé ces dernières à l’Université de Genève, où il s’est spécialisé en astrophysique et a soutenu son doctorat en 1984. Il a travaillé à l’Institut d’astronomie de l’Université de Lausanne sur la photométrie et la spectroscopie d’étoiles chimiquement particulières, puis s’est orienté vers l’étude des étoiles binaires. Il travaille maintenant au Laboratoire d’astrophysique de l’EPFL sur l’évolution des galaxies. Il a publié un livre sur la question de la pluralité des mondes habités (Dialogue sur les deux grands systèmes DES mondes, Hermann, Paris, 2010) et un autre sur les rapports entre science et foi (Du Big Bang à l’humanité. Et Dieu dans tout cela ?, Croire-Publications, Paris, 2012).

Résumé: Il y a plus d’un siècle, certains observateurs de la planète Mars ont fait preuve d’une imagination débordante en interprétant ce qu’ils voyaient ou croyaient voir. L’affaire des canaux de Mars qui en résulta s’avère néanmoins instructive. Elle nous offre l’occasion de rappeler une période de l’histoire de l’astronomie, mais aussi de réfléchir à la nature de la science, à ses limites, et aux conditions de son succès. Le mythe des canaux de Mars nous renvoie aussi à l’aspect humain de la recherche scientifique, en particulier au rôle des présupposés ou de l’idéologie du chercheur.

Conférence: « L’échelle des distances dans l’Univers »

  • Date et heure: Jeudi 18 septembre 20h00
  • Titre: L’échelle des distances dans l’Univers
  • Conférencier: Laurent Eyer (UNIGE)
  • Monsieur Laurent Eyer est docteur en astrophysique, chercheur à l’observatoire de l’Université de Genève. Vous trouverez une présentation plus précise à l’adresse suivante: http://obswww.unige.ch/~eyer/CVanglais_WWW.pdf

Résumé: “La détermination de la distance est un problème fondamental de l’astronomie depuis des siècles. Les distances aux étoiles permettent non seulement de cartographier l’univers, mais aussi nous donne accès à la luminosité, propriété fondamentale des objets célestes. L’Europe au travers de son histoire a toujours joué un rôle moteur dans cette quête. Dans ces dernières décennies l’Agence Spatiale Européenne a été le leader du domaine au niveau mondial. Je présenterai dans le détail la mission spatiale Gaia, qui est une mission majeure de l’Agence Spatiale Européenne. Cette sonde spatiale a été lancée le 19 décembre dernier. Je mettrai aussi évidence le rôle de la Suisse dans le consortium de traitement des données et je tenterai d’esquisser certaines retombées scientifiques de cette mission exceptionnelle. »

Programme du cycle de conférences 2014-2015

La rentrée est arrivée, Astrochablais reconduit son cycle de conférences annuel.

Cette année, nous accueillerons les Professeurs Laurent Eyer, Pierre Dubath, Daniel Schaerer, François Wildi et Pierre North qui aborderont un éventail de sujets aussi intéressants les uns que les autres.

Nous vous annonçons également notre prochaine Assemblée Générale qui aura lieu le 18 septembre prochain à 18h30 à la salle polyvalente de l’Ecole de Commerce de Monthey. L’assemblée sera suivie d’une conférence de Laurant Eyer: « Les échelles de distance dans l’Univers ».

Record de distance d’une exoplanète découverte par transit

Une équipe d’astronomes a découvert, par transit, une exoplanète d’une taille équivalente à Uranus ou Neptune gravitant vraisemblablement au-delà de la « ligne de glace » de son étoile-parent. Les données acquises par le satellite Kepler suggèrent qu’elle n’a pas quitté la région où elle s’est formée, au contraire des fameuses « Jupiter chaudes » détectées en grand nombre.

« Découvrir une exoplanète comme Kepler-421b était un coup de chance » estime David Kipping (Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, CfA) qui, avec son équipe, l’a récemment débusquée parmi les données collectées avec Kepler. Rappelons qu’entre 2009 et 2013, le satellite a épié par la méthode dite de transit quelque 150.000 étoiles en direction des constellations du Cygne et de la Lyre, décuplant ainsi le nombre d’exoplanètes candidates. En l’espace de 4,3 années, Kepler-421b n’est passée que deux fois devant (transit).

Effectivement, « plus une planète est éloignée de son étoile, moins elle est susceptible de transiter devant, du point de vue terrestre. Pour la voir, elle a intérêt à s’aligner juste »explique le professeur. Aussi, au regard de sa taille, les astrophysiciens ont calculé qu’il n’y avait que 0,3 % de chance de la remarquer. Plus près de son étoile-hôte, avec une orbite de seulement 3 jours (à l’instar des Jupiter chaudes, il aurait été 9.000 fois plus facile de la détecter. Par delà le record de distance (et de la longueur de sa période orbitale) pour une exoplanète découverte par transit, le cas observé livre de précieuses informations dans le domaine de la planétologie et de la Formation des systèmes planétaires.

 

Comme cela est décrit sur cette illustration d’un disque proto-planètaire, la « ligne de glace » différencie la formation des corps. À l’intérieur de cette limite, seuls les roches et les métaux sont en mesure de se condenser. La température élevée contraint l’hydrogène à rester gazeux. En revanche, au-delà de cette frontière, gaz, roches et métaux peuvent s’agréger. © Pearson Education, Addison Wesley

Conférence: « Vie et mort des étoiles »

  • Date et heure: Jeudi 22 mai 20h00
  • Titre: Vie et mort des étoiles
  • Conférencier: Bastien Confino (RTS)
  • Résumé: “Nous sommes tous des poussières d’étoiles ». C’est ainsi qu’Hubert Reeves décrit les atomes qui nous composent. Au cours de cette conférence, nous verrons comment les étoiles jouent un rôle crucial dans la genèse de la matière. En partant des grands nuages de gaz que sont les nébuleuses, nous explorerons la vie d’une étoile et surtout sa mort, parfois cataclysmique qui mène aux naines blanches, aux étoiles à neutron et aux trous noirs. »

Monsieur Bastien Confino est journaliste scientifique à la Radio Télévision Suisse, dans l’émission CQFD. Passionné d’astronomie depuis son plus jeune âge, son activité professionnelle a toujours orbité autour de ce thème : animation à l’Observatoire de St-Luc, création d’un magasin et d’une école d’astronomie, vulgarisation scientifique en général.

La comète Siding Spring se dirige vers Mars, mettant la planète en danger

Le 19 octobre 2014 Siding Spring va frôler la planète rouge à 140 000 kilomètres de distance. La chevelure de la comète, qui pourrait être active à cette distance du Soleil, pourrait balayer Mars à plus de 50 km/s.

Le 19 octobre prochain, la comète Siding Spring va frôler la planète Mars, à seulement 140 000 kilomètres de distance ! Cela peut sembler beaucoup (un tiers de la distance Terre-Lune) mais la chevelure de la comète, qui pourrait être active à cette distance du Soleil, pourrait balayer la planète à plus de 50 km/s.

Les images observées par le télescope spatial Hubble aident les scientifiques à en apprendre plus sur l’axe de rotation du noyau de Siding Spring et la vitesse à laquelle elle éjecte de la poussière. « C’est une information capitale dont nous avons besoin pour déterminer à quel degrés les jets de poussières de la comète vont impacter Mars et ses environs », a déclaré Jian-Yang L de l’Institut des Sciences de la Planète de Tuscon.

Les scientifiques ne savent pas encore à quel point la comète Siding Spring sera dangereuse pour les orbites de la NASA comme le Mars Reconnaissance Orbiter et le Mars Odyssey. Ils en sauront un peu plus d’ici avril ou mai, quand la comète sera plus près du soleil. Les officiels de la NASA ont toutefois assuré ne pas s’inquiéter pour leurs rovers, Opportunity et Curiosity. Par ailleurs, bien que l’atmosphère de Mars n’ait que 1% de l’épaisseur de celle de la Terre, elle est assez importante pour empêcher la poussière de la planète d’atteindre sa surface.

La comète Siding Spring (son vrai nom est Comète C/2013 A1) été découverte en janvier 2013 par un chasseur de comètes confirmé, Robert McNaught, à l’observatoire Siding Spring en Australie.

Astronome? Quel drôle de métier

  • Date et heure: Jeudi 20 mars 20h00
  • Titre: Astronome? quel drôle de métier
  • Conférencier: Anne Verhamme (UniGe)
  • Résumé: “ Je présenterai les différentes facettes de mon métier d’astronome.
    Tout d’abord, je vais décrire les trois principaux types d’astronomes:  l’observateur (de lumière ou autre), le théoricien et le numéricien. Puis je vais expliquer comment un astronome travaille, en présentant l’organisation d’une journée type, d’une semaine type, le rythme d’une année. Enfin je vais décrire le parcours à suivre pour devenir astronome. »

 

Madame Anne Verhamme se présente:

« Je m’appelle Anne Verhamme, j’ai 34 ans, je suis française, mariée, maman de trois enfants (Marie, 7ans, Charlotte, 5.5 ans et Jules, 4 ans).J’ai fais ma thèse au Département d’Astronomie de l’Université de Genève, sous la direction du Prof. Daniel Schaerer, pendant laquelle j’ai étudié les effets de transfert radiatif de la raie Lyman-alpha de l’Hydrogène dans les galaxieset que j’ai soutenu en 2008. En 2009, je suis partie en post-doc à l’Université d’Oxford (UK), pour étudier les propriétés Lyman-alpha de simulations hydrodynamiques de formation et d’évolution de galaxies. J’ai obtenu une bourse européenne Marie Curie pour faire deux ans de post-doc à l’Observatoire de Lyon, et travailler sur la prédictions d’observations Lyman-alpha par MUSE, spectrographe intégral de champs pour le VLT en construction à Lyon. Depuis Septembre 2012, je suis Boursière d’Excellence de l’Université de Genève, de retour à l’Observatoire astronomique de Genève, et je travaille (toujours) sur les propriétés Lyman-alpha des galaxies, en collaboration avec l’Université de Tokyo. »

L’Univers dynamique (!!! remplacé par une conférence sur les trous noirs par notre président Stéphane Davet !!!)

  • Date et heure: Jeudi 23 janvier 20h00
  • Titre: L’Univers dynamique
  • Conférencier: Daniel Schaerer (UniGe)
  • Résumé: “ Contrairement à ce que l’on pourrait croire en l’observant pour la première fois, l’Univers est un lieu et un objet d’étude en transformation permanente. Il est donc crucial, pour pouvoir le comprendre, d’étudier les différents modes de transformation du cosmos. Cette dynamique concerne bien-sûr les planètes, les fameux « astres errants », les étoiles, qui se déplacent à l’intérieur des galaxies,  ainsi que les galaxies elles-mêmes. Nous montrerons d’ailleurs que les plus grandes structures de notre Univers sont également en mouvement. Dans cette conférence, nous allons présenter et discuter ces phénomènes dynamiques, notamment :
    • leurs origines, c’est-à-dire les différents moteurs susceptibles de générer ces dynamiques.
    • l’interaction de ces mouvements entre eux, comme par exemple l’effet du mouvement des galaxies sur celui des étoiles, ou le mouvement du Soleil sur notre planète. »

    “.

Monsieur le professeur Daniel Schaerer a fait ses études de physique à l’Ecole Polytechnique Fédérale de Zürich. Il effectue ensuite sa thèse de doctorat à l’UniGe sur les atmosphères et l’évolution stellaire. Il poursuit son parcours universitaire avec plusieurs postdoctorats à Baltimore, au Space Telescope Science Institute, et à Toulouse. Daniel Schaerer est chercheur au CNRS depuis 1999 et également professeur à l’UniGe depuis 2002.

 

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Caractéristiques techniques:

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Contact: f@fjaques.com